Département de la Seine-Saint-Denis | La Culture et l'Art au Collège

Edition | Année parcours : 2023

Informations sur le parcours à la date du : 28/04/2024

DANSER LE MERVEILLEUX

Coordonnées du collège
  • Collège affecté : Collège Cesaria Evora
  • Ville : MONTREUIL
  • Classe : 5ème 
Coordonnées de la structure
  • Nom de la structure : L'Inesthétique
Coordonnées de la personne ressource
  • Identité : Madame Julie Gouju

1. Articulation avec un processus de création :

Le parcours a un lien avec la création / le projet scientifique en cours ou à venir

Projets en cours ou à venir de l'intervenant.e menant le parcours
  • Formée en philosophie (Université Sorbonne) et en chorégraphie (Centre Chorégraphique National de Montpellier), je suis danseuse, chorégraphe, pédagogue et chercheuse. THÉRÈSE (création 2024) est un duo avec la danseuse Sabine Macher autour de l’extase comme une expérience de « sortie de corps », un transport, une force qui met hors de soi. Notre intention est de parvenir à un laisser-aller qui libère les corps – les nôtres sur scène comme ceux qui nous regardent – quel que soit les nouvelles formes informes, grotesques, amusantes et terrifiantes qui en découlent. Partenaires : C ND - Centre National de la Danse (résidence longue) La Briqueterie - CDCN du Val de Marne (prêt de studio) Le Vivat - scène conventionnée art et création Théâtre de Vanves La Bellone – maison du spectacle & le Centre des Écritures Dramatiques Wallonie Bruxelles
Articulation du parcours avec ces projets
  • L’atelier propose d’explorer l’extase à travers le registre du merveilleux, en se concentrant sur les fictions qui apparaissent dans une telle expérience. À partir des récits merveilleux qui traversent l’histoire et la littérature, nous inventerons nos propres fictions dansées. Les élèves seront guidés pour inventer des figures dansées entre le rêve et la réalité, étranges et fantastiques, portées par un imaginaire puissant. L’improvisation structurée nous permettra d’explorer de nouvelles qualités de corps et de motricité. La musicalité du geste, l’expressivité du visage, le lâcher-prise et le travail sur l’action comme moteur de mouvement conduiront l’écriture des danses. Avec la classe, nous mènerons une enquête dansée. Tout au long de l’atelier, nous nous demanderons : comment peut-on sortir de son corps en dansant ? Quelles sont les fictions particulières qui nous transportent hors de nous-mêmes ? Notre objectif sera de parvenir à une libération musculaire, articulaire, vibratoire, énergétique et imaginaire. Parallèlement à la pratique, nous essaierons de décrire, avec précision, les sensations et les images qui nous traversent au moment où nous dansons. Ce travail de verbalisation se fera à l’oral et à l’écrit, à travers des consignes ludiques, pour former un recueil d’expériences immédiat.

2. Construction du parcours (pendant le temps scolaire et avec une classe donnée)

Résumé en 4 lignes du parcours (thématique, contenu et objectifs du projet)
  • DANSER LE MERVEILLEUX souhaite, à travers la pratique de la danse, donner corps aux fictions et aux mythes extraordinaires qui traversent l’histoire. Il propose d’inventer des figures dansées entre le rêve et la réalité, étranges et fantastiques, portées par un imaginaire puissant.

Accompagnement des enseignant.es

Co-construction du parcours avec les équipes pédagogiques : méthodologie (préparation, groupe de travail, présentation des intervenant.es, ressources mises à disposition des professeur.e.s)
  • - Une réunion sera organisée en début d’année, réunissant les acteurs de l’équipe-projet. Cette réunion aura pour but de se présenter et de co-construire le projet singulier. L’artiste présentera son travail, ses intentions pour l’atelier, les pratiques abordées et les objectifs pédagogiques et artistiques. Ce temps d’échange sera l’occasion de préciser ensemble le thème de l’atelier, mais aussi de réfléchir ensemble aux liens que chaque enseignant peut faire dans sa matière. L’équipe pédagogique sera conviée à ce temps de travail. - Suite à cette réunion, un journal de bord sera créé à destination de l’équipe projet. Enseignants et artiste le rempliront avec leurs intentions et leurs façons de contribuer au projet toute l’année. - Ce « journal de bord » permettra également de restituer les choses faites en classe, en lien avec le projet. Il sera programmatique mais aussi un outil de mémoire, pour partager à l’ensemble de l’équipe ce qui a été fait, en classe et dans l’atelier. - Dans ce « journal de bord », une section « ressources » sera créée. L’artiste y inscrira les ressources utilisées au cours de l’atelier (extraits vidéos d’oeuvres chorégraphiques, textes d’artistes, iconographie, ...). Les enseignants à leur tour pourront intégrer les ressources étudiées en lien avec le projet.
L’intervenant.e a t-il.elle déjà mené un parcours CAC ou AGORA lors des éditions précédentes ? Si oui, précisez dans quel collège, la ville et ce qui motive le renouvellement de sa candidature.
  • J'ai mené cette année cinq parcours CAC au sein des collèges Paul Bert (à Drancy), Jean Lurçat (Saint Denis), Jacques-Prévert (Noisy-le-Sec), Claude Debussy (à Aulnay-Sous-Bois), Jean-Jaurès (Saint-Ouen) Le travail avec les amateurs, et en particulier avec les adolescents, fait partie intégrante de ma démarche d’artiste. Mon travail de chorégraphe s’ancre dans ma perception du réel et de notre époque. La nouvelle génération est pour moi une source d’inspiration constante et un terrain d’échange privilégié. Les adolescents constituent la plupart des figures que j’interprète dans mes pièces. Par ailleurs, il me paraît essentiel d’étendre la démarche artistique hors des théâtres, de rencontrer d’autres publics, de transmettre les outils artistiques à des amateurs pour qu’ils inventent à leur tour. Cet échange me semble nécessaire pour sensibiliser les jeunes aux oeuvres de l’art et leur donner des outils pour appréhender leur corps et leurs sensations, c’est pourquoi chaque année je réserve, à côté de mes créations scéniques, un temps pour les projets avec les amateurs. Enfin, le dispositif CAC offre un cadre idéal pour allier la pratique, la réflexion, et la culture artistique qui sont au fondement de ma démarche d’artiste-chercheuse.

L'atelier construit et encadré par l'artiste / le scientifique se déroule sur une durée d'environ 20 heures

Les ateliers (environ 20h) doivent être détaillés et le nombre d’heures, pour chacun d’eux, indiqué
  • L’atelier aura lieu lors d’une semaine banalisée de 4 à 5 jours, à raison de 5h par jour. JOUR 1 (5H) : « entrer dans la fiction » > Présentation des figures fictionnelles > Exploration libre et guidée autour de ces figures > Introduction à la technique de Laban [action et qualité de mouvement] > Composition : créer « une danse rêvée » à partir d’une d’action et d’un imaginaire commun > Atelier d’expression orale : « décrire sa danse » > Discussion philosophique : Où se situe la frontière entre réalité et fiction ? La fiction n’est-elle jamais réelle ? JOUR 2 (5H) : « transformer – sortir de soi » > Explorer des « états de corps » précis et différents > Danser à partir de l’exagération : répétition, transformation, épuisement > Composition : créer une seconde figure dansée > Atelier d’expression orale : « dis les images qui t’arrivent en dansant, ce que tu imagines être, ce que tu vois » > Vidéo étudiée: Guintche, Marlene Monteiro Freitas > Discussion philosophique : Pourquoi nous sentons-nous ridicules quand nous dansons ? JOUR 3 (5H) : « la grimace » > Pratique : « transmettre et s’adresser par le regard » > Improvisation : « déformer le visage et le corps » > Composition : à partir d’une émotion précise, fais une danse grotesque, réduite à l’essentiel, crée ta troisième figure dansée. > Vidéos étudiées : les danses d’affect de Valeska Gert > Discussion philosophique : comment notre corps exprime-t-il nos émotions ? JOUR 4 (5H) : « composer ensemble » > Écrire la partition de nos danses, choisir et composer une forme commune. > Apprendre à compter et être autonome dans sa partition rythmique > Répéter seul et en groupe. Apprendre à se regarder et se donner des conseils. > Travailler l’intensité, l’adresse, les entrées, les sorties et l’unisson. > Faire plusieurs filages de la forme créée. > Vidéo étudiée : Les Indes Galantes de Bintou Dembélé

Les sorties développent et mettent en perspective l'univers artistique / culturel de l'artiste / du scientifique et sa pratique

Les sorties (environ 10 heures) sont en lien direct avec le projet et permettent d’enrichir le contenu. Elles développent et mettent en perspective l’univers professionnel de l’intervenant.e et sa pratique.
  • Deux à trois sorties seront proposées aux élèves parmi les propositions suivantes et selon la programmation de l'année à venir : - Un spectacle de danse dans l’un de ces lieux : Centre National de la Danse, Les rencontres chorégraphiques de Seine Saint Denis, L’espace 1789, L’opéra Bastille (selon la programmation) - Musée du Louvre, visite des collections sur l’art grotesque, et notamment les masques [département des antiquités] - Musée Dali à Paris ou la collection des oeuvres surréalistes du Centre Pompidou

L'analyse critique permet d'expliciter la démarche de l'artiste / du scientifique et le sens du projet

Les temps de réflexion / débats sont animés par les intervenant.e.s et les enseignant.e.s. Ils permettent aux élèves de développer leurs connaissances et d’approfondir une thématique. Ils offrent un espace de débat et de réflexivité sur le projet en cours. Des intervenant.e.s ponctuel.le.s peuvent également animer certaines séances.
  • 1/ Une séance introductive, en amont de la semaine banalisée (2H) : - présentation de l’artiste et de sa démarche - présentation du projet et de la thématique - Discussion avec les élèves : « Quelle est ta relation à la danse ? » et « Qu’est ce que la danse pour toi ? » - Énumérer toutes les danses qu’on connait : décrire une spécificité pour chaque danse. Esquisser un geste. Lors de cette séance, l’artiste et tous les enseignants participants seront présents. Ils présenteront leur implication et le lien avec leur matière. 2/ Durant la semaine banalisée (1H / jour – TOTAL 5H) : Des temps de discussion et d’échange sous deux formes différentes : A. des « discussions philosophiques ludiques » seront proposées aux élèves. Elles seront pratiquées comme un jeu avec des règles de parole, pour déployer et problématiser le thème du projet. B. La présentation d’extraits vidéo de danse issus de l’histoire chorégraphique viendront ponctuer la pratique et mettre en parallèle l’atelier avec des démarches chorégraphiques existantes. 1H par jour sera dédiée à ces échanges. L’échange sera mené par l’artiste avec les professeurs. 3/ Deux temps spécifiques autour de chaque sortie proposée (2x 1H30 – TOTAL 3H) Ces temps permettront de contextualiser les sorties et d’entendre l’expérience de spectateurs des élèves. Ils seront menés par l’artiste et les enseignants, avant et/ou après la sortie, au collège ou directement sur le lieu visité.

La restitution, temps de cloture du projet

Un temps de restitution/valorisation et un temps de clôture/bilan du parcours permettent de mettre en partage le travail mené et d'encourager la réflexivité.
  • Nous imaginons plusieurs types de restitution : > À l’issue de l’atelier : la restitution d’une forme spectaculaire réalisée avec les élèves à partir d’une ou plusieurs pratiques chorégraphiques. Le choix des pratiques présentées se fera en consultation avec les élèves. Le spectacle est une forme importante pour les élèves : elle rend la pratique de la danse plus concrète. Elle invite à faire œuvre ensemble. Et surtout à « monter sur scène collectivement » devant des spectateurs bienveillants. > Une présentation orale du projet et de son déroulement, par les danseuses et les danseurs, en amont ou en aval de la représentation. Suivie d’un échange avec le public. > Une exposition des traces produites par les élèves pour réaliser leurs danses (partitions, description des sensations que produit la danse, …) ainsi que les différentes traces produites dans les disciplines impliqués dans le projet.

Le parcours entre dans le cadre de la démarche "130 pays, 130 collèges"

  • NON

Implication active des collégien.nes dans le processus (dimensions participative et inclusive)

Dimensions participative et inclusive (contenu du parcours et méthodologie)
  • Dimension participative (contenu du parcours) : Le thème de l'atelier est directement pensé pour les collégiens selon leur contexte et leur âge. Le merveilleux fait référence au monde du rêve et aux fictions qui accompagnent l’enfance. Le merveilleux et la fantastique abondent dans les livres, les mangas, les films et les histoires conçus pour les jeunes de cet âge. Il s’agit donc de s’emparer d’un thème qui les entoure et qu’ils connaissent bien. Dimension inclusive (méthodologie) : - Chaque atelier est composé selon une structure en 4 temps : 1. un rituel pour former un groupe et prendre conscience de son corps 2. un partage de pratiques et d'outils de la danse 3. des compositions de danse par les élèves 4. la présentation des danses devant le reste du groupe et leur analyse Les élèves seront amenés à créer leurs danses à partir d'outils transmis et à développer leurs compositions grâce à un travail constant d'observation et d’analyse, en se mettant à la place du spectateur. - Les ateliers de danses sont ponctuées par des ateliers d'écriture et/ou d’expression orale : en écrivant l'élève met des mots sur ses ressentis, décrit sa danse et l'imaginaire qu'elle convoque. La verbalisation permet de rendre la danse plus concrète, de préciser les états de corps et l’intention du mouvement. Les élèves prennent conscience de leurs interprétations. - Des discussions ou jeux philosophiques de 30min à 1h ponctueront la pratique de la danse. Ces temps d’analyse et de réflexion porteront autant sur la thématique (la rage) que sur le processus de création (créer des danses ensemble et se les présenter). L’enjeu de ces discussions est d’expliciter et de partager le processus créatif avec les élèves, pour qu’ils soient acteurs. - En classe : préparation et création des affiches et des programmes en lien avec leur parcours de danse. Élaboration d’un carnet de bord.

Prise en compte de l’égalité Femmes-Hommes au sein du parcours (sous quelle forme, avec quels outils… ?)

La thématique de l'égalité femmes-hommes est-elle abordée au sein du parcours? De quelle(s) façon(s) la méthodologie de travail permet-elle de prendre en compte les enjeux de l'égalité femmes-hommes ?
  • La pratique de la danse contemporaine se fera en groupe et en binôme mixte pour favoriser l’échange, le partage et le respect de tous les individus au sein de la classe. Les élèves apprendront à former un cercle mixte (répartition égale des garçons et des filles dans le cercle). Apprendre à travailler en groupe mixte, avec des garçons et des filles. Apprendre à se regarder dans les yeux et avec respect. Les extraits vidéos présentés d’œuvres chorégraphiques respecteront un principe de parité. Le travail de chorégraphes femmes sera mis en avant (Valeska Gert, Bintou Dembélé, Marlene Monteiro Freitas). L’intervenante veillera tout au long de l’atelier au partage équitable de la parole entre les sexes, notamment lors des temps d’analyse et de réflexion, d’échanges d’idées, de lecture des textes produits, mais aussi au respect de la parole de chacun. Durant les ateliers de danse, l’intervenante s’attachera systématiquement à déconstruire les clichés sur le genre et les représentations sociales qui pourraient être formulées par les élèves, ou véhiculées par leurs danses. La pratique de la danse elle-même favorise l’égalité des sexes. Les élèves apprendront à danser ensemble, à se regarder danser, à se donner des retours constructifs dans le respect et la bienveillance de chacun.
Auriez-vous des besoins en formation/sensibilisation sur la thématique « Egalité Femmes-Hommes » ?.
  • NON

Intégration de mesures liées à la transition écologique

Avez-vous mis en place, dans votre structure ou dans la mise en œuvre de vos projets des mesures spécifiques liées à la transition écologique ? Et comptez-vous mettre en place des mesures spécifiques dans le cadre du parcours déposé ?.
  • Les projets de la compagnie veillent à s'inscrire, dans leur majorité, sur le territoire d'implantation des artistes intervenants pour réduire l'impact écologique des voyages et des hébergements. Les productions artistiques donnent la priorité à la rémunération des artistes plutôt qu'à l'achat de scénographies et d'accessoires.
Auriez-vous des besoins en formation/sensibilisation sur la thématique « transition écologique » ?.
  • NON

Implication active de la famille dans le parcours

Les parents sont conviés à un temps de présentation et / ou aux temps forts du parcours (sorties, restitution…).
  • Un temps de présentation du parcours est proposé aux parents au cours du 1er trimestre. Les parents seront conviés à une réunion-présentation, au cours de laquelle l’artiste et les enseignants se présenteront. Seront expliqués les grands axes et les modalités d’un parcours CAC (les temps d’atelier, de réflexion, et les sorties). Enfin l’artiste et les enseignants décriront le projet qui sera réalisé au cours de l’atelier (la thématique, les pratiques et les objectifs). Un temps d’échange et de questions conclura la présentation. Les parents sont systématiquement conviés à la restitution. Les enseignants les inviteront bien en amont, à travers des invitations distribuées aux élèves (et demandes de réponse). Un travail de communication sera déployé par les enseignants pour conduire un maximum de parents à être présents lors de cette restitution. Leur présence est fondamentale pour les élèves et leur propre engagement dans le projet.
Le parcours propose des modalités innovantes visant à favoriser l’implication et la participation des familles.
  • Un atelier "parents-enfants" sera proposé au cours du parcours : durant cet atelier les élèves transmettront des danses et des pratiques artistiques expérimentées lors des séances précédentes. Cet atelier sera préparé avec la classe, afin de décider ensemble de la méthode de transmission auprès des parents. L’idée est de rendre les parents et les enfants actifs ensemble. Enfin, les parents seront conviés à encadrer les sorties et les temps d'atelier. Ils pourront s'inscrire auprès de l'enseignant. Nous souhaiterions que 2 parents encadrent chaque sortie.

3. Co-construction du parcours

Liens avec les différentes entrées du projet d'établissement et notamment de son volet culturel ou de son volet lié à la citoyenneté. Les axes du projet d’établissement auxquels il est fait référence sont explicités et le parcours a pour ambition de s'ouvrir à l'ensemble de l'établissement (rencontres avec d'autres classes, liens avec d'autres projets, chantiers d'étape ...).
  • La sensibilisation au domaine artistique est un axe important du projet de notre établissement, classé en REP. Les élèves participeront au festival culturel organisé par le collège en juin, et pourront échanger avec les autres élèves, mais aussi les autres acteurs de la communauté pédagogique (parents, professeurs, personnels administratifs).
L’Espace Numérique de Travail du collège, est-il utilisé pour faciliter l’organisation du projet et/ou comme support de communication et de valorisation ?
  • L’ENT du collège permet de communiquer les différents événements et étapes du projet ; nous pourrons faire des photographies, des vidéos, des dessins en lien avec l’avancement du projet de danse.
Les enseignant.es souhaitent-ils.elles s’investir dans les médias départementaux pour rendre compte des expériences et productions des élèves ?
  • OUI
Liens du parcours avec les enseignements, les objectifs pédagogiques (par discipline)
  • En anglais, enrichir son lexique, faire des liens entre des œuvres, plus particulièrement avec la dimension merveilleuse d’Alice au pays des merveilles, se sentir confiant pour se mettre au travail grâce au travail effectué en danse. En français, travailler sur le merveilleux et faire des liens avec des œuvres (Perceval), exprimer ses émotions à l’écrit et à l’oral dans des textes construits.

Application MICACO | Date : 28/04/2024