Département de la Seine-Saint-Denis | La Culture et l'Art au Collège

Edition | Année parcours : 2023

Informations sur le parcours à la date du : 27/04/2024

À propos des cavernes

Coordonnées du collège
  • Collège affecté : Collège Auguste Delaune
  • Ville : BOBIGNY
  • Classe : autre 
Coordonnées de la structure
  • Nom de la structure : F93
Coordonnées de la personne ressource
  • Identité : Madame Camille Balaudé

1. Articulation avec un processus de création :

Le parcours a un lien avec la création / le projet scientifique en cours ou à venir

Projets en cours ou à venir de l'intervenant.e menant le parcours
  • Camillle VIOT est doctorante en Archéologie Arctique à l’Université Paris 1 (UMR 8096). Dans le cadre de sa thèse, elle s’intéresse à l’utilisation du "ulu" au Groenland, un couteau qu’on retrouve sur de nombreux sites archéologiques dans l’Arctique et qui est encore utilisé aujourd’hui par certaines femmes des communautés Inuit ; son travail de recherche doctoral combine différentes approches afin de comprendre la fonction de ulu au Groenland comme outil mais aussi comme image et symbole (étude de collections archéologiques, de photographies, de films ou de représentations de l’outil et enquête ethnographique auprès des personnes qui l’utilisent dans un atelier groenlandais). Attachée d’Enseignement temporaire et de recherche (ATER) en Archéologie à l’Université́ de Paris 1 – Panthéon Sorbonne, elle intervient régulièrement après du grand public pour des initiations à la fouille archéologique, des démonstrations et des médiations autour de l'utilisation d'outils préhistoriques, présentation des métiers de l'archéologie et des outils de l'archéologue.
Articulation du parcours avec ces projets
  • Pour le projet « A propos des cavernes », l’idée de Camille est d’ouvrir le dialogue avec les adolescents en discutant des « clichés », des « images » qui existent sur la préhistoire et les populations du paléolithique, pour les déconstruire, pour permettre aux élèves de comprendre ce dont il est question quand on parle de préhistoire en archéologie. Elle souhaite évoquer en connexion l’utilisation par les archéologues de techniques pour dater l’art pariétal et l’art rupestre : comment le date-t-on ? Est-ce que c’est toujours possible ? A travers des exemples concrets de grottes et d'abris sous roche, elle entend les amener à comprendre comment les surfaces des grottes ou des abris sous roche ont été utilisées, à découvrir quelles étaient les différentes techniques employées et les motifs représentés au paléolithique ? Enfin il s’agira pour Camille de voir avec les élèves si l’art préhistorique est une source d’inspiration pour des artistes aujourd’hui. Est-ce que certains peintres ou certains sculpteurs s’inspirent des motifs que l’on retrouve dans les grottes ornées du paléolithique ? Autant de questions traitées avec les élèves qui rendront la grotte ornée plus proche de leur monde contemporain.

2. Construction du parcours (pendant le temps scolaire et avec une classe donnée)

Résumé en 4 lignes du parcours (thématique, contenu et objectifs du projet)
  • Les traces laissées par les hommes préhistoriques restent pleines d’incertitudes. Afin de lever les mystères de l’art pariétal, il va s’agir pour les élèves d’étudier des grottes ornées. Retracer les actions, les gestes opérés par les artistes pour faire de la grotte un espace de représentation. Quelles histoires ces traces vont-elles raconter aux élèves ?

Accompagnement des enseignant.es

Co-construction du parcours avec les équipes pédagogiques : méthodologie (préparation, groupe de travail, présentation des intervenant.es, ressources mises à disposition des professeur.e.s)
  • La co-construction du parcours avec les équipes éducatives, l’intervenante et le chargé de projets F93 se fera en amont mais aussi tout au long des séances. Une rencontre aura lieu avant le début du parcours pour élaborer un déroulé en fonction des thèmes, des spécificités du travail de recherche de l’intervenante, des attentes pédagogiques des enseignants et des attendus du projet. Ce rendez-vous sera également l’occasion de réfléchir aux supports les plus pertinents à utiliser lors des séances pour permettre aux élèves de s’approprier au mieux les enjeux du projet. L’ensemble sera ensuite adapté au fur et à mesure du parcours lors des points réguliers qui seront faits à l’issue de chaque étape. Enfin, l’ensemble des supports, mais aussi des suggestions faites par chacun pour enrichir le parcours, sera disponible dans un padlet créé par le chargé de projets pour faciliter la communication avec les enseignants et l’intervenante.
L’intervenant.e a t-il.elle déjà mené un parcours CAC ou AGORA lors des éditions précédentes ? Si oui, précisez dans quel collège, la ville et ce qui motive le renouvellement de sa candidature.
  • Non, l’intervenante n'a jamais mené de parcours dans le cadre du dispositif CAC. Par ailleurs, la démarche "A propos des cavernes " est totalement nouvelle.

L'atelier construit et encadré par l'artiste / le scientifique se déroule sur une durée d'environ 20 heures

Les ateliers (environ 20h) doivent être détaillés et le nombre d’heures, pour chacun d’eux, indiqué
  • Vous avez dit pariétal ? (4 h) Après avoir sondé l’imaginaire des élèves et les représentations de la classe sur les grottes et les peintures rupestres, l’intervenante montre aux collégiens comment le préhistorien étudie des vestiges archéologiques. A l’échelle d’une grotte ornée, on relèvera notamment les points de concentration artistique, les correspondances stylistiques, les caractéristiques du support, la composition des pigments utilisés… A l’issue de cette entrée en matière, avec l’aide de textes, d’images, de cartes, la chercheuse présentera aux adolescents certains sites remarquables (Lascaux, Chauvet, Pech Merle…) In situ (10 h) En classe, le groupe découvre « son terrain d’étude » : la grotte d'Arcy-sur-Cure (Yonne), avec son bestiaire (une soixantaine d'animaux dominée par les mammouths), complété par des mains négatives et par des signes variés (points, lignes sinueuses, signes) qu’il va s’agir d’observer et d’analyser. Encadrée par l’intervenant, la classe groupe se prépare à la journée d’étude qui va suivre. Sur place, répartis en sous-groupes, les élèves collectent, notent, analysent une série d’informations qu’il va s’agir de classer, de comparer et de comprendre. De retour au collège, ils amorcent la phase de traitement pour tenter de répondre à plusieurs questions. Comment ces représentations ont-elles été choisies par les « artistes » ? Comment ont-elles été réalisées et pourquoi ? Quelle en est l’importance pour les sociétés préhistoriques ? Et que révèlent ces témoignages sur la vie des populations du Paléolithique supérieur ? Les premières réponses formulées seront confrontées aux données recueillies par d’autres paléontologues sur d’autres sites. Expérimenter pour comprendre et conclure (6 h) L’expérimentation permettra aux élèves de se mettre « dans la peau des artistes préhistoriques ». Lors de cette 3ème phase, les collégiens devront tenter de reproduire une partie de la grotte ornée, en empruntant certaines techniques utilisées à l’époque (gravures, pigments mélangés avec de l'eau, projection, réflexion sur les formes et les reliefs…) . Cette troisième étape permettra d’affiner les savoirs, en se confrontant aux problèmes concrets. Enfin vient le moment de synthétiser la démarche de recherche dans son ensemble pour permettre de partager les connaissances acquises par la classe.

Les sorties développent et mettent en perspective l'univers artistique / culturel de l'artiste / du scientifique et sa pratique

Les sorties (environ 10 heures) sont en lien direct avec le projet et permettent d’enrichir le contenu. Elles développent et mettent en perspective l’univers professionnel de l’intervenant.e et sa pratique.
  • Trois sorties seront organisées pendant le parcours afin d’une part faire visiter deux lieux patrimoniaux en rapport avec la thématique abordée dans l’atelier et d’autre part de faire découvrir aux élèves un site remarquable - La classe découvre les collections du Musée de l’Homme qui comptent parmi les plus importantes au monde dans les domaines de la Préhistoire et de l’Anthropologie. Avec pour objectif de comprendre l’humain et la place qu’il occupe dans le vivant, de raconter ses origines et de questionner nos marges d’adaptation dans le monde de demain. - La classe découvre le Musée de Préhistoire d’Ile-de-France. Avec cette visite les élèves retracent les grandes étapes de la Préhistoire et de la Protohistoire de l’ensemble de l’Île-de-France, des premiers vestiges attestant de la présence de l’Homme (vers – 600 000 ans) à la fin de la période gauloise. - Grottes d’Arcy-sur-Cure (sortie / terrain) : les élèves découvrent ce lieu qui abrite les plus anciennes peintures rupestres originales encore accessibles en France.

L'analyse critique permet d'expliciter la démarche de l'artiste / du scientifique et le sens du projet

Les temps de réflexion / débats sont animés par les intervenant.e.s et les enseignant.e.s. Ils permettent aux élèves de développer leurs connaissances et d’approfondir une thématique. Ils offrent un espace de débat et de réflexivité sur le projet en cours. Des intervenant.e.s ponctuel.le.s peuvent également animer certaines séances.
  • L’intervenante, la classe, les enseignants et le chargé de projets F93 se retrouvent à l’issue de la première séance au cours de laquelle l’intervenant a présenté à la classe des exemples remarquables de l’art pariétal. Ensemble ils présentent à la classe la démarche générale du projet et explicitent la répartition des rôles de chacun au sein de celui-ci. Chacun montre à la classe ce que sa propre expérience et expertise peut apporter à l’autre. Ils rappellent également que la démarche proposée est un parcours qui vise à accroître la connaissance historique de ce qu’était l’existence d’une grotte ornée dans une perspective ouverte mais rigoureuse.

La restitution, temps de cloture du projet

Un temps de restitution/valorisation et un temps de clôture/bilan du parcours permettent de mettre en partage le travail mené et d'encourager la réflexivité.
  • Un temps de clôture sera organisé au sein du collège, il s’articulera autour de 2 axes : d'une part, une petite publication, sorte d’état des lieux de la recherche de la classe, sera éditée par F93 et distribuée à la communauté éducative. Par ailleurs, lors d’une journée de clôture, les élèves ayant participé au projet inviteront leurs camarades d’autres classes et leurs parents à la reproduction de peintures et techniques qui ont été abordées pendant l’année. Un fac-similé de grotte sera installé et recouvert petit à petit par les participants, de formes, de mains positives, de traces de doigts permettant à tous de partager l’expérience…

Le parcours entre dans le cadre de la démarche "130 pays, 130 collèges"

  • NON

Implication active des collégien.nes dans le processus (dimensions participative et inclusive)

Dimensions participative et inclusive (contenu du parcours et méthodologie)
  • Le parcours « A propos des cavernes » est pensé sur le mode participatif puisqu’il implique un engagement actif des élèves à chacune de ses étapes. L’idée est d’abord d’ouvrir le dialogue sur la question de l’archéologie préhistorique. C’est le regard des élèves sur l’art pariétal qui orientera en partie la nature du parcours. Les séances du projet reposeront sur les contributions actives de chacun et chacune des élèves de la classe. C’est ce regard, guidé par l’intervenante et l’enseignant, qui sera recherché tout au long du processus de projet. Sans cette implication active du groupe dans la définition du parcours, ses contours, et ses modalités de mises en œuvre, la nature même de l’exercice aurait peu de sens.

Prise en compte de l’égalité Femmes-Hommes au sein du parcours (sous quelle forme, avec quels outils… ?)

La thématique de l'égalité femmes-hommes est-elle abordée au sein du parcours? De quelle(s) façon(s) la méthodologie de travail permet-elle de prendre en compte les enjeux de l'égalité femmes-hommes ?
  • La thématique de l’égalité Femmes-Hommes sera abordée dans le projet sous deux angles au moins. Tout d’abord, il s’agira de montrer que l’héritage des représentations établies au début de l'étude de la préhistoire, dans un XIXe siècle encore très puritain, et fortement empreint de sexisme scientifique, sont fausses. En effet, aucune preuve n'existe pour justifier que les sociétés préhistoriques aient cultivé un antécédent sexiste. Grâce aux outils de recherche et des moyens d'investigation archéologiques, on s'aperçoit que l'homme n'était pas forcément au centre de tout. D’autre part et plus largement, les intervenantes, les enseignants et la chargé de projets F93 veilleront à rappeler l’importance de l’égal accès des hommes et des femmes aux carrières universitaires dans le domaine des sciences humaines où les femmes restent sous-représentées.
Auriez-vous des besoins en formation/sensibilisation sur la thématique « Egalité Femmes-Hommes » ?.
  • NON

Intégration de mesures liées à la transition écologique

Avez-vous mis en place, dans votre structure ou dans la mise en œuvre de vos projets des mesures spécifiques liées à la transition écologique ? Et comptez-vous mettre en place des mesures spécifiques dans le cadre du parcours déposé ?.
  • F93 a mis en place depuis plusieurs années un certain nombre de mesures spécifiques liées à la transition écologique. L’équipe est invitée à réguler sa consommation en énergie en limitant le chauffage des bureaux à 19°C (et en limitant l’usage de la climatisation aux situations exceptionnelles de grandes chaleurs l’été). Les lumières et les ordinateurs sont par ailleurs systématiquement éteints quand ils ne sont pas utilisés. Le tri des déchets a par ailleurs été mis en place. Une sensibilisation aux bonnes pratiques numériques a également été menée afin de ne pas stocker ou envoyer des documents trop lourds et l’utilisation de l’ENT et des supports numériques sont privilégiés à l’impression de documents papiers quand cela n’est pas un frein pour l’apprentissage des élèves. Dans la mesure du possible, les sorties proposés aux classes s’effectuent en transports en commun, Les déplacements de l’équipe se font la grande majorité du temps en transports en commun, sauf quand ce n’est pas possible pour des raisons logistiques et/ou de planning. Dans le cadre des projets que nous menons, notamment lors des restitutions, nous privilégions le réemploi de matériaux que nous avons déjà utilisés et qui sont en réserve ou que nous trouvons dans les stocks des établissements. Enfin, nous intégrons dans notre programmation des projets consacrés à la transition écologique, que ce soit leur thème principal (deux cette année) ou l’une de leurs thématiques secondaires."
Auriez-vous des besoins en formation/sensibilisation sur la thématique « transition écologique » ?.
  • NON

Implication active de la famille dans le parcours

Les parents sont conviés à un temps de présentation et / ou aux temps forts du parcours (sorties, restitution…).
  • Lors de la réunion parents-professeurs du premier trimestre une présentation du projet, conçue par F93, est mise en place afin de présenter aux parents le thème du projet, l’intervenant, les sorties qui seront réalisées par leurs enfants et les conditions de la restitution finale.
Le parcours propose des modalités innovantes visant à favoriser l’implication et la participation des familles.
  • Après la première rencontre avec l’ intervenante, les élèves sont invités à recueillir les expériences que leurs familles ont du lieu étudié afin d’enrichir leur imaginaire. A l’issue de l’atelier, les parents sont également conviés à participer à la restitution.

3. Co-construction du parcours

Liens avec les différentes entrées du projet d'établissement et notamment de son volet culturel ou de son volet lié à la citoyenneté. Les axes du projet d’établissement auxquels il est fait référence sont explicités et le parcours a pour ambition de s'ouvrir à l'ensemble de l'établissement (rencontres avec d'autres classes, liens avec d'autres projets, chantiers d'étape ...).
  • Le parcours répond parfaitement aux différents objectifs de l'établissement et se place en continuité avec le travail mené et les différents axes de travail. En effet, le collège Auguste Delaune a pour objectif de « Développer la coopération » (axe 3 du Projet d’Établissement). Cet axe a pour rôle d'améliorer la coopération avec les différents partenaires de l’établissement, de donner un élan à la liaison école/collège, d’intégrer des dispositifs et les partenaires dans le quotidien du collège (partenariats culturels, CAC). De plus, le projet d’établissement donne à ses acteurs le devoir de faire de la citoyenneté et du vivre ensemble des valeurs cardinales de notre société (axe 2). En ce sens, il y est mentionné que les cultures présentes au sein de l’établissement doivent être valorisées et considérées comme des richesses dans le socle commun. Dans cette optique, la restitution répondra à cette attente.
L’Espace Numérique de Travail du collège, est-il utilisé pour faciliter l’organisation du projet et/ou comme support de communication et de valorisation ?
  • L'espace numérique de travail sera utilisé comme un centre de ressources archéologiques virtuel. En amont, le chargé de projets et l'enseignant créent une page dédiée intitulée « A propos de cavernes », accessible à tous les élèves et à l'équipe enseignante. Un grand nombre de données y est transféré au fur et à mesure du parcours : hypothèses de départ, relevé pariétal, plan de déchiffrement des parois, photographies, relevés dessinés… Durant chaque séance en classe, les collégiens se réfèrent à ces documents de travail et y ajoutent leurs commentaires. Après chaque visite, les adolescents téléchargent à leur tour photographies et vidéos, notes, mesures et conclusions. À l'issue du parcours, chaque classe a à sa disposition toutes les ressources nécessaires pour mettre au point la restitution.
Les enseignant.es souhaitent-ils.elles s’investir dans les médias départementaux pour rendre compte des expériences et productions des élèves ?
  • OUI
Liens du parcours avec les enseignements, les objectifs pédagogiques (par discipline)
  • Le parcours “A propos des cavernes”, offre de nombreux liens avec les cycles 3 et 4 d’enseignement notamment celui d’Histoire : • Tout d’abord avec la compétence : “Se repérer dans le temps : construire des repères historiques” : - ordonner des faits les uns par rapport aux autres et les situer dans une époque où une période donnée ; - manipuler et réinvestir le repère historique dans différents contextes. Domaines du socle 1, 2, 3. • Le parcours permet également aux élèves d’aborder concrètement la compétence “Comprendre un document” : - identifier le document et savoir pourquoi il doit être identifié ; - extraire des informations pertinentes pour répondre à une question ; - savoir que le document exprime un point de vue, identifier et questionner le sens implicite d’un document ; - confronter un document à ce qu’on peut connaître par ailleurs du sujet étudié; - utiliser ses connaissances pour expliciter, expliquer le document et exercer son esprit critique. Domaines du socle : 1, 2. • Surtout, le parcours mettra les élèves en situation de chercheurs quand ils devront “Raisonner, justifier une démarche et les choix effectués” : - poser des questions, se poser des questions ; - formuler des hypothèses ; - vérifier ; - justifier ; - s’exprimer à l’oral pour penser, communiquer et échanger. Domaines du socle 1, 2, 5 • Enfin, tout au long du parcours, les élèves seront amenés à : “Coopérer et mutualiser” : - organiser son travail dans le cadre d’un groupe pour élaborer une tâche commune et/ou une production collective et mettre à la disposition des autres ses compétences et ses connaissances ; - discuter, expliquer, confronter ses représentations, argumenter pour défendre ses choix ; - négocier une solution commune si une production collective est demandée. Domaines du socle 2, 3. En Arts plastiques : - apprendre les différentes catégories d’images, leurs procédés de fabrication et leurs transformations, En Histoire de l’art : dégager d’une œuvre d’art, par l’observation ou l’écoute, ses principales caractéristiques formelles, les relier à des usages, ainsi qu’au contexte historique et culturel de sa création.

Application MICACO | Date : 27/04/2024